Bienvenue sur le catalogue du centre de ressources et de recherche documentaire du centre hospitalier de Lannion-Trestel
Résultat de la recherche
369 documents numériques ou titres trouvés pour la recherche 'restera'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
L'épicondylite (Tennis Elbow). Thérapie manuelle - Rebouthérapie / Thierry PROSSEL in Profession Kinésithérapeute, N°43 (juin-juillet-août 2014)
[article]
Titre : L'épicondylite (Tennis Elbow). Thérapie manuelle - Rebouthérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry PROSSEL, Auteur ; Fawsi CHARDOME, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp. 40-42 Langues : Français (fre) Catégories : Coude
KinésithérapieRésumé : L’épicondylite est une pathologie courante dans les cabinets. Chaque traitement a sa part de vérité, l’important restant l’analyse que l’on fait des causes, et du diagnostic qui ne doit pas rester loco-dolenti. Permalink : https://ch-lannion.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11009
in Profession Kinésithérapeute > N°43 (juin-juillet-août 2014) . - pp. 40-42[article]Penser à la vieillesse / Philippe BLANC in Perspective soignante, n°62 (septembre 2018)
[article]
Titre : Penser à la vieillesse : Les conseils de Cicéron à la lumière du rappel des leçons éthiques et philosophiques du "prendre soin" Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe BLANC, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 98-109 Langues : Français (fre) Catégories : Ethique
Ethique [philosophie]
Personne âgéeDe 60 ? 99 ans.
PhilosophieTags : éthique philosophie prendre soin vieillesse. Note de contenu : Traditionnellement, on définit l'éthique par la recherche de "la vie bonne" à la fois sur le plan de sa définition propre et sur celle des moyens relatifs à sa réalisation. Même si la vie bonne est susceptible de définitions variées (le plaisir, l'exercice de la vertu morale, la vie en communauté, l'accomplissement personnel, etc.), on peut supposer que l'un de ses caractères les plus désirables pour les humains que nous sommes est qu'elle dure le plus longtemps possible. C'est pourquoi, tout en reconnaissant la portée édifiante, la plupart d'entre nous resteraient très modérément d'accord avec la règle stoïcienne énoncée par Sénèque dans la Lettre 70 à Lucilius, selon laquelle, pour le sage : "ce n'est pas de vivre qui est désirable, mais de vivre bien ; aussi vit-il autant qu'il le doit et non autant qu'il le peut ; ce qui l'occupe, c'est qu'elle sera sa vie, jamais ce qu'elle durera". (R.A.) Permalink : https://ch-lannion.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=15337
in Perspective soignante > n°62 (septembre 2018) . - pp. 98-109[article]Être infirmière et devenir médecin / Françoise VLAEMYNCK in Objectif soins & management, n°256 (mai 2017)
[article]
Titre : Être infirmière et devenir médecin Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise VLAEMYNCK Année de publication : 2017 Article en page(s) : PP. 07-08 Langues : Français (fre) Catégories : Formation
Infirmier
MédecinNote de contenu : Un arrêté, paru en avril dernier, permet aux infirmières diplômées d'État d'intégrer des études médicales en 2e ou 3e année sans passer le concours par le biais des passerelles entrantes. Une opportunité qui restera cependant difficile à saisir. (R.A.) Permalink : https://ch-lannion.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=14527
in Objectif soins & management > n°256 (mai 2017) . - PP. 07-08[article]Le grand âge, forces et fragilité in Jalmalv, N°119 (décembre 2014)
[article]
Titre : Le grand âge, forces et fragilité Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : pp.11-93 Langues : Français (fre) Catégories : Accompagnement mourant
Bénévolat
Consentement soins
Dignité#3-2001.
Fin vie#4-2006
Libre choixPossibilit? offerte, dans le syst?me de sant? fran?ais, ? un malade de s'adresser librement ? tout m?decin ou ? tout ?tablissement de soins de son choix.
Personne âgéeDe 60 ? 99 ans.
Refus soins
Vieillissement
Vulnérabilité#3-2001.Note de contenu : Le dossier
Vieux mais vivants !
Michel Billé
La vieillesse est une période à investir pleinement. Or, c’est l’interdépendance qui nous fait hommes et femmes vivants. Ce fragile vieillard devient vulnérable, justement, dans l’interaction avec son environnement qui vient ou non le blesser. Lorsque je ne puis plus jouer mon rôle, puis-je encore remplir une fonction ? La fonction est symbolique et se libère du discours utilitariste. Alors, de belles rencontres sont possibles entre les générations et la transmission la plus fondamentale est sans doute d’introduire l’enfant aux questions qui dépassent l’homme.
Témoignage
Face à l'épreuve du grand âge
Nadia Saber
Les faiblesses du vieillissement et des forces
Louis Ploton
Vieillir comporte des risques, tant sur le plan physique que sur le plan psychologique. L’avancée en âge peut aller de pair avec la dépendance affective vis-à-vis des contacts restants, des manifestations de démotivation, ou encore l’atteinte de l'estime de soi. Elle pose la question de nouvelles tâches de vie, s’agissant de se mettre en cohérence avec soi-même, de laisser une trace, de continuer à prendre le risque de la vie, de constituer malgré soi une référence, et de tenter d’être un vieillard résilient.
Les forces du grand âge, n'en déplaise aux stéréotypes
Lina le Gall
La vieillesse n’est-elle que pertes et déclins ? L’âgisme consiste à laisser circuler des stéréotypes négatifs sur la vieillesse. Le sous-entendu dépréciatif des mots est l’un des fondements des représentations négatives que nous nous en faisons. Mais vieillir, c’est vivre plus longtemps, vivre de nouvelles choses. C’est l’occasion de réactualiser ses valeurs, de moins se focaliser sur des critères d’utilité ou sur les apparences. Le grand âge peut être une période de liberté, peut-être le dernier moment pour oser vivre sa vie.
Témoignage
Je reçois leur parole avec beaucoup de reconnaissance
Fadila Mendras
Comment considérer la personne lorsque l'identité semble s'effacer ?
Agata Zielinski
La rencontre des personnes les plus vulnérables nous permet de centrer la définition de la personne humaine sur autre chose que l’autonomie et la rationalité. La mesure éthique de la relation se déplace et s’enracine dans la vulnérabilité, une vulnérabilité commune et une responsabilité face à la vulnérabilité la plus grande. La considération pour la vulnérabilité élargit l’attention aux capacités émotives, affectives, relationnelles, et permet de valoriser l’interdépendance.
La valeur de la vie finissante et la place de la personne âgée dans la décision
Elisabeth Dell'Accio
La question du sens de ce que vit la personne au grand âge a une incidence forte, sur le regard que nous portons sur elle, et sur la place qui lui est faite en ce qui concerne l’accueil, l’accès au soin et le respect de la dignité. C’est dans la place de la parole pour exprimer ses choix que la vulnérabilité de la personne peut être mise à mal. Le risque serait de penser que la vulnérabilité se traduit par une diminution de l’autonomie décisionnelle. C’est dire l’importance, pour ce faire, de la relation établie avec la personne et fondée sur l’écoute.
Personnes âgées en fin de vie : haut risque de dérives !
Bernard Wary
La vie vaut-elle encore le coup d’être vécue lorsqu’on a perdu son autonomie physique, psychique et socio-familiale ? La société est-elle prête à assumer les malades âgés en fin de vie, qui nécessitent temps et moyens financiers ? Penser et mettre en place une véritable politique de la fin de vie nécessite de prendre du recul avec les questions médiatiques. La perte de sens peut prendre le visage de l’acharnement, du défaut de soins et du renoncement. Prendre conscience des nombreuses dérives possibles permet de trouver les ressources pour les éviter.
L'accompagnement des personnes âgées, quels sens pour les bénévoles ?
Laurence Mitaine
Pour les bénévoles d’accompagnement, il s’agit d’être là, auprès de la personne, être présent à l’autre quelle que soit sa dépendance, sa capacité à communiquer. Accueillir l’autre vieillissant et de le laisser « être autre » afin que sa souffrance puisse s’exprimer et être entendue. Ainsi, écoute et regard peuvent permettre à cette personne âgée vulnérable d’être reconnue en tant que sujet, dans sa dignité d’être humain.Permalink : https://ch-lannion.centredoc.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11559
in Jalmalv > N°119 (décembre 2014) . - pp.11-93[article]N°121 - juin 2015 - Le deuil de ceux qui restent (Bulletin de Jalmalv)
[n° ou bulletin]
Titre : N°121 - juin 2015 - Le deuil de ceux qui restent Type de document : texte imprimé Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Catégories : Deuil
Mort
Relation famille soignant
Travail deuil#3-2001.Note de contenu : EDITORIAL : Marie-Thérèse Bitsch
Pourquoi parler du deuil en 2015 ?
Il est important de faire connaitre la réalité du phénomène du deuil, de faire comprendre ce que vit la personne endeuillée. Actuellement le deuil se cache moins qu’il y a quelques décennies. Chaque personne vit la traversée du deuil à sa façon mais elle passe par des étapes caractéristiques qui se succèdent ou se superposent. Et la nature de la relation avec le défunt et les circonstances de sa mort peuvent conférer au deuil une coloration spécifique ou une complexité particulière.
LE DOSSIER
Première partie : La dimension sociale du deuil
Introduction
Myriam Legenne
Les mécanismes sociaux et psycho-sociaux du travail de deuil
Louis Vincent Thomas
Le travail de deuil est avant tout un processus personnel d’intériorisation. Mais il ne peut s’accomplir qu’en liaison avec l’environnement. C’est ce que nous montrent les rites funéraires ainsi que les règles du deuil social, malheureusement en perte de vitesse dans l’Occident moderne. Des formes substitutives toutefois se présentent où se conjuguent le savoir et le savoir-faire des professionnels mais aussi de bénévoles convenablement formés.
Les traces des morts
Michel Hanus
Ce qui est utile pour chaque personne en situation de deuil, aller se recueillir auprès des restes de son défunt, est également utile à la collectivité. Un groupe social, quel qu’il soit, de la famille à la nation, est formé par ses membres vivants et bientôt par leurs descendants mais il l’est également et fortement par ses anciens, par ses ancêtres, par ses défunts dont il est utile d’attester l’existence par des signes visibles et durables.
Les besoins et les attentes des personnes endeuillées
Nadine Beauthéac
La société demande aux endeuillés de reprendre au plus vite, quelques semaines après le décès, une vie normalisée. Il s’agit plus d’une méconnaissance du deuil que d’une volonté de l’ignorer. Les relations d’un endeuillé ne savent pas ce qu’est le deuil, la réalité de l’arrachement humain, combien de temps dure « la grande souffrance » du deuil.
Témoignage
« La vie est belle… ». Les attentes et la parole d’une personne
Yvonne Johannot
Deuxième partie : L'intimité du deuil
Introduction
Catherine Marin
Le deuil de ceux qui restent. Le vécu des familles et des soignants
Janine Pillot
Tout au long d’une maladie grave l’entourage vit déjà un certain nombre de renoncements, dans un processus de pré-deuil. Puis le travail de deuil se vit après la perte effective, consommant une énorme énergie psychologique. Ce travail plonge les endeuillés dans une grande vulnérabilité. Son accomplissement requiert des conditions pour pouvoir apprivoiser la perte, dépasser la culpabilité ou la colère, et laisser émerger la tristesse.
Des deuils si coupables…!
Michel Hanus
Il n'y a pas de deuil sans culpabilité. Derrière ces inévitables et universels sentiments de culpabilité à l'égard des morts se profilent notre difficulté à accepter vraiment la mort et, de ce fait même, celle à considérer les morts comme vraiment morts. Mais cette culpabilité consciente et inconsciente est beaucoup plus importante lorsqu'il y a eu participation involontaire à la mort de la personne aimée.
Voir ou ne pas voir le corps du défunt
Marie-Frédérique Bacqué
Voir son mort, c’est le suivre jusqu’au bord de son destin, des adieux sont nécessaires pour faciliter l’acceptation de la réalité de la mort. La découverte de la personne connue ou aimée dans un autre état de la matière pose la question de la possibilité de le reconnaître. La vision du mort place déjà l’endeuillé dans une perspective de recherche. Le proche est mort, il est là, sous nos yeux et pourtant nous le cherchons.
Appel de l’au-delà ou appel à l’au-delà ?
Tanguy Châtel
Parler avec le mort semble être une chose bien naturelle et probablement bien nécessaire. « Nos » morts ne nous quittent pas, ils ne se laissent pas bannir. Parce que nous avons encore besoin d’eux, parce que nous avons besoin de continuer à leur parler, nous les maintenons vivants en nous. Certains sont parvenus à faire ce chemin, du silence au monologue, puis du monologue au dialogue. La parole est toujours un soin, un chemin.
Troisième partie : Le poids des deuils indicibles
Introduction
Alain Skrzypczak
Deuils inavouables : le poids du secret et une estime de soi « abîmée »
Yves Ferrarini
Parler de deuils inavouables, c’est ici parler d’amours inavouables, des personnes homosexuelles. Une histoire clandestine, un amour inavouable, font, à de rares exceptions près, que la perte de l’autre reste inexorablement dans la même logique du non-dit, du non-reconnu, rendant ainsi tout travail de deuil sinon impossible du moins extraordinairement complexe.
A propos des adolescents endeuillés
François Dill
Pour un adolescent, le deuil est un événement doublement difficile à affronter dans cette période, à cause de certaines similitudes qu’on peut trouver entre le travail de deuil et le travail d’adolescence. L’adolescent endeuillé est celui qui est confronté au décès douloureux d’un proche, ou pour qui le remaniement interne réveille un deuil plus ancien qui n’a pas été suffisamment élaboré auparavant.
Fratries en deuil
Daniel Oppenheim
La mort d’un frère ou d’une sœur est une expérience terrible pour un enfant, quel que soit son âge. Le deuil de la fratrie est souvent intense et cause de grandes souffrances, d’autant qu’il est souvent négligé par les parents et les soignants. Il peut laisser des traces durables, qui ont des conséquences sur les choix de vie de ces enfants et leur devenir existentiel. Il faut donc se préoccuper autant de la traversée du deuil elle-même que de ce devenir à long terme.
Face au berceau vide, quel deuil pour les parents ?
Isabelle de Mézerac, Laurent Storme
La réalité du deuil périnatal commence à sortir de la conspiration du silence qui prévalait jusqu’à maintenant, peut-être sous l’effet des indicateurs de santé publique mais aussi de l’attention portée aux récits des parents. Il semble important aujourd’hui de prendre en compte la situation de détresse dans laquelle ces parents peuvent être plongés car elle peut impacter durablement une vie de famille.Permalink : https://ch-lannion.centredoc.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=15963 [n° ou bulletin]Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité PDOC0002336 PERIOD Périodique Centre de ressources et de recherche documentaire Revues Paramédicales Disponible Évaluation de la qualité des revues de morbi-mortalité aux Hospices civils de Lyon / Hélène FAVRE in Risques & qualité, Vol. XI N°2 (juin 2014)
PermalinkLes régions et les formations sanitaires et sociales : bilan de la décentralisation / Françoise JEANSON in Soins Cadres, N°104 sup. (Novembre 2017)
PermalinkL’appartement Lena, une transition pour rester au domicile / Florence DOHIN in Soins aides-soignantes, n°94 (mai-juin 2020)
PermalinkComment rester serein quand tout s'effondre / Fabrice Midal
PermalinkJouer pour rester en vie / Tiffany BULLY GERARD in Soins gérontologie, n°133 (septembre-octobre 2018)
Permalink