| Résumé : |
La restauration à l’hôpital est une composante majeure du projet hôtelier et les patients comme les personnels sont très attachés à la qualité des prestations qui leur sont proposées. Pourtant, de nombreux établissements se trouvent confrontés à des difficultés liées à la qualité insuffisante des repas, ou à des coûts de revient trop importants. Dans ce contexte, les évolutions de l’industrie agroalimentaire posent question : Que penser des nouveaux produits ? Comment les utiliser ? L’expérience du centre hospitalier national d’ophtalmologie (CHNO) des Quinze-Vingts, au terme de deux ans de pratique, peut apporter des éléments de réponse. Les solutions innovantes de l’industrie agroalimentaire permettent à chaque établissement d’imaginer un mode de fonctionnement adapté à ses besoins. Quelques hôpitaux ont franchi le cap, comme le CHU de Toulouse en 2011, le CH de Lagny-Marne-la-Vallée ou le CH de Sainte-Anne à Paris en 2012, pour faire face à une période de travaux. Mais certains grands groupes privés vont au-delà en imposant systématiquement à leurs prestataires de restauration l’utilisation de ces plats cuisinés. L’hôpital public ne peut donc plus les ignorer, et devra étudier dans ses projets de réorganisation cette opportunité de faire ensemble. |
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Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestionLes fonctions logistiques et hôtelières, premières vitrines de la qualité de l’hospitalisation. À quel prix ? in Techniques hospitalières, N°750 (mars-avril 2015)
